“Le secteur du livre doit-il craindre l’intelligence artificielle ?”, tel était l’intitulé de la table ronde organisée au Centre national du livre (CNL) le 23 mars dernier. Une inquiétude potentielle qui agite bien au-delà de la rue de Verneuil, et fait se multiplier les informations et prises de position. La Ligue des auteurs professionnels a ainsi réalisé un argumentaire d’une trentaine de pages en faveur d’une meilleure régulation de l’IA. L’association ATLAS a fait paraître la tribune : “IA et traduction littéraire : les traductrices et traducteurs exigent la transparence”. Le Syndicat national de l’édition a quant a lui mis à disposition une clause-type pour s’opposer à la fouille de textes et de données par les intelligences artificielles.
>> Consulter la synthèse de la table ronde du CNL | l’argumentaire de la Ligue des auteurs professionnels | la tribune d’ATLAS | la clause-type du SNE